Petit, tout petit, grand, tout grand !
Et il parait que ce blog a six ans !
Je ne lancerai pas de concours photo comme Nathalie sait le faire pour le plaisir de partager nos photos et comme les deux premiers thèmes d'octobre m'inspirent que la notion de taille dépend de l'échelle et de la perspective, voici ce moment de douceur où l'on peut être selon le petit ou le grand
Je l'ai retrouvé dans mes "vieilleries", et le lien fonctionne encore ! pour combien de temps ? Mystère. Tout va très vite sur le Net. Et si rien ne s'oublie en mode numérique, nos cerveaux trop sollicités font vite du vide dans les nouvelles ...
J'ai ouvert ce deuxième blog juste pour tester la nouvelle formule de overblog et sans tout à fait abandonner mon premier blog qui a eu dix ans en juin dernier.
Depuis mon blog principal, alimenté le plus souvent par des jeux d'écriture en est à sa quatrième année.
Les blogs ne sont plus à la mode et Internet réclame de l'immédiateté à laquelle je résiste, au risque de n'être informée qu'avec retard quand ce n'est pas du tout.
Après tout, les sms, avec leur dictionnaire, sont maintenant faciles à écrire et le téléphone existe toujours pour entendre la voix de ceux qui sont trop loin de nous.
Qui sait encore combien il en coûtait dans les années 1960, 1970 pour installer et utiliser le téléphone ? tarifé à la seconde en trois catégories, appels dans les environs immédiats, appels de la circonscription (environ un tiers de département) et appels inter-urbains. Et je ne parle même pas des appels internationaux !
Dans le hameau où mes parents se sont installés à leur retraite, le hameau de la famille de ma mère dont il restait une petite maison derrière chez nous, mes parents étaient les seuls à avoir le téléphone et les six ou sept foyers qui habitaient autour avaient l'habitude de venir appeler ou de se faire appeler chez nous.
Il semble que le téléphone fixe vive ses dernières années. Il ne sert plus guère qu'à recevoir des appels administratifs (rares) ou publicitaires (c'est devenu une vraie pollution !) Alors je ne suis pas sûre de le regretter !