24 heures photo 2017 - 32 : photo ratée
Les caprices de la météo m'ont privée de vous offrir une photo de l'Oise à Pontoise, ayant du rebrousser chemin et renoncer à une promenade sur ses berges. J'aurais pu vous refaire ailleurs le coup de l'averse à verse mais la priorité était de se mettre à l'abri et de sécher les fringues au sèche cheveux tant en trois minutes nous avons été rincés en dépit des vêtements de pluie.
J'aurais aimé vous montrer la dernière scène du Chant des Moineaux. La lumière ne gênait pas la mise au point et si j'étais encore au dernier rang, debout j'étais bien placée. Voyez plutôt mais voyez aussi le pourquoi du titre.
J'en demande humblement pardon à Jules et le Vilain Orchestra. Et non je ne céderai pas à l'alibi de prétendre à une soudaine inspiration après avoir vu une exposition de peintures de visages et de silhouettes volontairement déformées dans l'après-midi.
C'est vrai le cliché est un peu meilleur mais il manque Jules sorti du champ juste avant d'appuyer sur le déclencheur !
Si le "comité d'accueil" y était renforcé, m'évoquant, sans que je l'exprime à haute voix, l'hypothèse d'une nouvelle actualité dramatique que nous ignorions, la salle était comble et enthousiaste pour accueillir ce chanteur "du pays" qui a rodé son talent en tant que musicien auprès de Higelin, Les Ogres de Barback, Bénabar ...
Un chanteur inclassable qui, avec l'orchestre Le Vilain Orchestra, donne une pêche d'enfer et des fourmis dans les pieds tout en abordant dans ses textes des sujets essentiels (la mort, la différence, et tant d'autres jusque dans les plus anodines situations).
Je ne saurais mieux dire que cette page trouvée grâce à Google
Jules et le Vilain Orchestra - Wikipédia
En 2013, Jules et le Vilain Orchestra sortent leur premier album, qui sera donc le troisième album de Jules, sous le nom "Le Sale Gosse". Cet album se veut plus punchy que les deux précédents et se
Ils ont même leur fiche wikipedia
J'aurais pu mettre en partage leur dernier clip officiel Mal barré.
Mais comment résister à ce qui me va droit au coeur car vu et chanté avec tant de justesse. Ils sont nombreux, les "mecs", à être attentifs aux inégalités de genre, ils sont beaucoup plus rares, ceux qui sont capables de le dire ainsi.
Ceci est mon quatre-vingt-dix-huitième rendez-vous avec d'autres photoblogueurs participant à 24 heures photo. Comme par le passé chez Amartia, leur liste en est épinglée sur le blog de Patricia Chemin de tables, de photos qui lui succède pour ce sympathique rendez-vous
Ces rendez-vous succèdent à mes 140 participations à la photo de la semaine pour Amartia.